31 août 2013
30 août 2013
29 août 2013
28 août 2013
27 août 2013
Comment porter la tendance pyjama ? #3
L'ensemble :
Les plus courageuses peuvent porter le pyjama en total look. Le haut, le bas,... et même la "robe de chambre" pourquoi pas ! Pour ne pas avoir l'air de venir de sortir de son lit, il faut accessoriser. Des talons, une pochette, des bijoux,... tout est permis.
Mon article sur comment porter le pyjama est terminé.
Que pensez-vous de cette tendance ? Aimez-vous ? Porteriez-vous un pyjama à la ville ? Le bas, le haut ou les deux ?
Les plus courageuses peuvent porter le pyjama en total look. Le haut, le bas,... et même la "robe de chambre" pourquoi pas ! Pour ne pas avoir l'air de venir de sortir de son lit, il faut accessoriser. Des talons, une pochette, des bijoux,... tout est permis.
Mon article sur comment porter le pyjama est terminé.
Que pensez-vous de cette tendance ? Aimez-vous ? Porteriez-vous un pyjama à la ville ? Le bas, le haut ou les deux ?
26 août 2013
Comment porter la tendance pyjama ? #2
Le pantalon :
Celles qui osent un peu plus peuvent se permettre de porter le bas de pyjama. Celui-ci s'accompagne d'un blazer, ou d'un cardigan et de derbies pour un côté dandy.
Quand il fait chaud, on peut aussi se permettre la version pyjama short.
La suite demain !
Celles qui osent un peu plus peuvent se permettre de porter le bas de pyjama. Celui-ci s'accompagne d'un blazer, ou d'un cardigan et de derbies pour un côté dandy.
Quand il fait chaud, on peut aussi se permettre la version pyjama short.
La suite demain !
25 août 2013
Comment porter la tendance pyjama ? #1
On en a vu au défilé Vuitton, Dries Van Noten, etc... Le pyjama, c'est la nouvelle tendance de la saison. Mais il ne faut pas confondre "pyjama" et "pyjama". Le pyjama dont on parle, c'est le pyjama d'homme, en soie ou satin, que l'on utilise finalement pas tellement pour dormir.
La chemise :
Les moins téméraires pourront porter seulement la veste du pyjama, en la rentrant dans un short ou un slim comme une véritable chemise. Je vous conseille de choisir votre short ou pantalon dans un tissus rigide comme le jean ou le cuir pour contraster avec l'effet fluide de la chemise. Vous pouvez rajouter un accessoire comme un chapeau par exemple.
La chemise peut être aussi porter comme une veste, ou cintrée avec une ceinture.
La suite demain !
Louis Vuitton |
Dries Van Noten |
La chemise :
Les moins téméraires pourront porter seulement la veste du pyjama, en la rentrant dans un short ou un slim comme une véritable chemise. Je vous conseille de choisir votre short ou pantalon dans un tissus rigide comme le jean ou le cuir pour contraster avec l'effet fluide de la chemise. Vous pouvez rajouter un accessoire comme un chapeau par exemple.
La chemise peut être aussi porter comme une veste, ou cintrée avec une ceinture.
La suite demain !
24 août 2013
23 août 2013
22 août 2013
21 août 2013
Le match des créateurs
Coup de cœur pour ces t-shirts, signés LPD New York.
Une façon tendance et sportive de montrer sa passion pour son créateur favori. Les chiffres correspondent à l'année de naissance.
Choisissez votre équipe !
Une façon tendance et sportive de montrer sa passion pour son créateur favori. Les chiffres correspondent à l'année de naissance.
Choisissez votre équipe !
Aimez-vous ces t-shirts ?
Les porteriez-vous ?
Quel est votre créateur préféré parmi ceux ci-dessus ?
20 août 2013
19 août 2013
18 août 2013
17 août 2013
16 août 2013
15 août 2013
Défilé Jean-Paul Gaultier Haute Couture Automne-Hiver 2013-2014
14 août 2013
13 août 2013
12 août 2013
Yves Saint-Laurent
Yves Saint-Laurent, de son vrai nom Yves Henry Donat Mathieu-Saint-Laurent est un grand couturier français. Il est né le 1er août 1936 à Oran, en Algérie française, et mort le 1er juin 2008 à Paris. Ses collections de Haute Couture font partie de l'histoire du XXème siècle.
Enfance :
Yves Saint-Laurent révèle très trop une passion pour le dessin, les costumes et les décors de théâtre.
C'est sa mère, Lucienne Wilbaux, fille d'ingénieur, qui lui donnera le goût de la mode et de l’esthétisme. Son père, Charles Mathieu-Saint-Laurent était président d'une compagnie d'assurance et et propriétaire d'une chaîne de salles de cinéma. Il était le descendant de Laurent Mathieu (dit Saint-Laurent), baron de Mauvières. Yves Saint-Laurent avait deux sœurs : Michèle et Brigitte.
Les années Dior :
Il passe son enfance en Algérie, avant d'aller à Paris.
En 1954, il reçoit le premier et le troisième prix au Concours du Secrétariat international de la laine.
Il est inscrit à l'école de la Chambre syndicale de la Haute Coutre à Paris, où il ne reste que peu de temps. Il rencontre ensuite Christian Dior, par l'intermédiaire de Michel de Brunhoff, directeur de Vogue France. Le grand couturier engage immédiatement le jeune homme en tant qu'assistant.
Rapidement, Yves Saint-Laurent va s'occuper de presque la moitié des modèles Dior. Quand ce dernier meurt en 1957, il prend la direction artistique de la maison.
En 1958, il présente sa première collection "Trapèze" qui connaît un immense succès, tout comme les 5 collections qui vont suivre.
Mais il est appelé à faire son service militaire et est interné au Val de Grâce pour dépression. En 1960, il est lincencié de chez Dior, et remplacé par Marc Bohan.
La création de la maison Yves Saint-Laurent :
Yves Saint-Laurent, décide avec Pierre Bergé, son compagnon de toujours qu'il a rencontré en 1958, de créer sa propre maison de coutre grâce au soutien financier de l'américain milliardaire J. Mack Robinson.
Sa première collection est présenté le 29 janvier 1958, dans un hôtel particulier au 30 bis rue Spontini à Paris (la maison s'installera en 1874 au 5 de l'avenue Marceau). Les marinières, cabans, tailleurs, cuissardes de cette première collection sont applaudie par le public. Un journaliste de Life Magazine déclare même que ce sont les meilleurs tailleurs depuis Chanel.
Saint-Laurent Rive Gauche :
Son but étant de pouvoir habiller toutes les femmes, Yves Saint-Laurent décide d'ouvrir, en 1966, une boutique de prêt-à-porter qu'il nomme Saint-Laurent Rive Gauche. Catherine Deneuve en est la marraine. Une première : aucune marque de marque de prêt-à-porter ne portait le nom d'un grand couturier jusqu’ici. Il dit accorder autant, voire plus d'attention au prêt-à-porter qu'à la Haute Couture. Le succès est immédiat, des boutiques ouvrent partout dans le monde.
Plus tard , d'autres lignes comme Saint-Laurent Variation, plus accessible encore, ou des lignes pour hommes verront le jour.
Fin de carrière et de vie :
En 1988, Yves Saint-Laurent nomme Alber Elbaz directeur artistique du prêt-à-porter féminin et Hedi Slimane directeur artistique du prêt-à-porter masculin, préférant se consacrer seulement à la Haute Couture.
Le 7 janvier 2002, il annonce lors d'une conférence de presse, la fin de sa carrière.
Le 22 janvier de la même année, il présente un grand défilé rétrospectif, retraçant 40 de créations, au Centre Pompidou.
Il se consacre désormais aux activités de la Fondation Pierre Bergé - Yves Saint-Laurent, qui a pour mission de sauvegardé 5 000 vêtements haute couture et 150 000 accessoires, croquis et objets divers.
Le 1er juin 2008, il meurt, suite à un cancer du cerveau, dans son appartement à Paris.
Ses obsèques sont célébrées à l'église Saint Roch, de nombreuses personnalités, politiques comme médiatiques sont présentes.
Ses cendres sont déposées, dans le jardin Marjorelle à Marrakech, que Pierre Bergé et lui-même avait acheté en en 1980.
Prix et distinctions :
En 1966, Yves Saint-Laurent reçoit un oscar du magazine Harper's Bazaar.
En 1982, lors de la soirée célébrant les vingt ans de la maison de couture, il reçoit l'International Fashion Award du Conseil des créateurs de mode. En 199, il reçoit le prix Geoffrey Beene du même conseil.
Yves Saint Laurent a également été fait chevalier, puis commandeur, puis grand officier de la légion d'honneur, en 1985, 2001 et 2007.
En février 2009, Pierre Bergé organise une vente aux enchères pour vendre les 733 œuvres d'arts rassemblé par Yves Saint-Laurent et lui-même.
En 1983, le Metropolitan Museum of Art de New York organise une exposition rétrospective sur Yves Saint-Laurent, la première consacrée à un couturier vivant. S'en suit des expostions à Pékin en 1985, Paris en 1986, Saint-Petersbourg et Sydney en 1987.
Inspirations :
Une des plus grandes sources d’inspirations d'Yves Saint-Laurent est le jardin de Marjorelle, à Marrakech, un jardin botanique créé par le peintre français Jacques Marjorelle, qu'il achète en 1980 avec Pierre Bergé, et ouvre au grand public. Il y va tous les 1er décembre et 1er juin pour dessiner sa collection Haute Couture pendant 15 jours. Saint-Laurent dit que cette ville lui a apporté la couleur.
Mais le Maroc n'est pas le seul pays qui l'est inspiré, le Japon, l'Inde, la Russie, la Chine ou encore l'Espagne ont inspiré ses collections.
Le couturier créé de nombreuses collections "hommages" inspirées de la littérature (Proust, Cocteau, Apollinaire,...) ou encore de la peinture (Mondrian, Picasso, Van Gogh, le Pop Art,...).
Il s'inspire de la rue, et de détails de la vie de tous les jours.
Le style YSL :
Collection automne-hiver 1966 : le smoking apparaît dans la garde-robe féminine d'Yves Saint-Laurent, et sera désormais présent dans toutes ses futures collections que ce soit sous forme de pantalons, ou de jupe,... Toujours noir, ce vêtement d'homme représente l'émancipation féminine.
Des années qui suivent, le couturier continue de défrayer la chronique : en 1967, il créé des robes africaines constituées de perles et de rafia, puis en 1968, met des sahariennes dans sa collection.
Il créé des costumes de théâtre, ballet et cinéma.
C'est l'un des premiers créateurs à faire défiler des mannequins noirs.
Son idéal esthétique de la silhouette féminine est de longues jambes et peu de poitrine.
Yves saint-Laurent met à la portée des femmes, des vêtements fonctionnels jusque là seulement portés par les hommes. Ainsi, il créé des trenchs et des duffle-coats, des cabans et des marinières, des smoking et des tailleurs pantalon.
Enfance :
Yves Saint-Laurent révèle très trop une passion pour le dessin, les costumes et les décors de théâtre.
C'est sa mère, Lucienne Wilbaux, fille d'ingénieur, qui lui donnera le goût de la mode et de l’esthétisme. Son père, Charles Mathieu-Saint-Laurent était président d'une compagnie d'assurance et et propriétaire d'une chaîne de salles de cinéma. Il était le descendant de Laurent Mathieu (dit Saint-Laurent), baron de Mauvières. Yves Saint-Laurent avait deux sœurs : Michèle et Brigitte.
Yves Saint-Laurent en 1957 |
Il passe son enfance en Algérie, avant d'aller à Paris.
En 1954, il reçoit le premier et le troisième prix au Concours du Secrétariat international de la laine.
YSL et un modèle de la collection Trapèze |
En 1958, il présente sa première collection "Trapèze" qui connaît un immense succès, tout comme les 5 collections qui vont suivre.
Mais il est appelé à faire son service militaire et est interné au Val de Grâce pour dépression. En 1960, il est lincencié de chez Dior, et remplacé par Marc Bohan.
La création de la maison Yves Saint-Laurent :
Yves Saint-Laurent, décide avec Pierre Bergé, son compagnon de toujours qu'il a rencontré en 1958, de créer sa propre maison de coutre grâce au soutien financier de l'américain milliardaire J. Mack Robinson.
Sa première collection est présenté le 29 janvier 1958, dans un hôtel particulier au 30 bis rue Spontini à Paris (la maison s'installera en 1874 au 5 de l'avenue Marceau). Les marinières, cabans, tailleurs, cuissardes de cette première collection sont applaudie par le public. Un journaliste de Life Magazine déclare même que ce sont les meilleurs tailleurs depuis Chanel.
Saint-Laurent Rive Gauche |
Son but étant de pouvoir habiller toutes les femmes, Yves Saint-Laurent décide d'ouvrir, en 1966, une boutique de prêt-à-porter qu'il nomme Saint-Laurent Rive Gauche. Catherine Deneuve en est la marraine. Une première : aucune marque de marque de prêt-à-porter ne portait le nom d'un grand couturier jusqu’ici. Il dit accorder autant, voire plus d'attention au prêt-à-porter qu'à la Haute Couture. Le succès est immédiat, des boutiques ouvrent partout dans le monde.
Plus tard , d'autres lignes comme Saint-Laurent Variation, plus accessible encore, ou des lignes pour hommes verront le jour.
Fin de carrière et de vie :
En 1988, Yves Saint-Laurent nomme Alber Elbaz directeur artistique du prêt-à-porter féminin et Hedi Slimane directeur artistique du prêt-à-porter masculin, préférant se consacrer seulement à la Haute Couture.
Le 7 janvier 2002, il annonce lors d'une conférence de presse, la fin de sa carrière.
Le 22 janvier de la même année, il présente un grand défilé rétrospectif, retraçant 40 de créations, au Centre Pompidou.
22 janvier 2002 |
Le 1er juin 2008, il meurt, suite à un cancer du cerveau, dans son appartement à Paris.
Ses obsèques sont célébrées à l'église Saint Roch, de nombreuses personnalités, politiques comme médiatiques sont présentes.
Ses cendres sont déposées, dans le jardin Marjorelle à Marrakech, que Pierre Bergé et lui-même avait acheté en en 1980.
Yves Saint-Laurent et Pierre Bergé |
En 1966, Yves Saint-Laurent reçoit un oscar du magazine Harper's Bazaar.
En 1982, lors de la soirée célébrant les vingt ans de la maison de couture, il reçoit l'International Fashion Award du Conseil des créateurs de mode. En 199, il reçoit le prix Geoffrey Beene du même conseil.
Yves Saint Laurent a également été fait chevalier, puis commandeur, puis grand officier de la légion d'honneur, en 1985, 2001 et 2007.
En février 2009, Pierre Bergé organise une vente aux enchères pour vendre les 733 œuvres d'arts rassemblé par Yves Saint-Laurent et lui-même.
En 1983, le Metropolitan Museum of Art de New York organise une exposition rétrospective sur Yves Saint-Laurent, la première consacrée à un couturier vivant. S'en suit des expostions à Pékin en 1985, Paris en 1986, Saint-Petersbourg et Sydney en 1987.
Robe hommage à Mondrian |
Une des plus grandes sources d’inspirations d'Yves Saint-Laurent est le jardin de Marjorelle, à Marrakech, un jardin botanique créé par le peintre français Jacques Marjorelle, qu'il achète en 1980 avec Pierre Bergé, et ouvre au grand public. Il y va tous les 1er décembre et 1er juin pour dessiner sa collection Haute Couture pendant 15 jours. Saint-Laurent dit que cette ville lui a apporté la couleur.
Mais le Maroc n'est pas le seul pays qui l'est inspiré, le Japon, l'Inde, la Russie, la Chine ou encore l'Espagne ont inspiré ses collections.
Le couturier créé de nombreuses collections "hommages" inspirées de la littérature (Proust, Cocteau, Apollinaire,...) ou encore de la peinture (Mondrian, Picasso, Van Gogh, le Pop Art,...).
Il s'inspire de la rue, et de détails de la vie de tous les jours.
Smoking de 1966 |
Le style YSL :
Collection automne-hiver 1966 : le smoking apparaît dans la garde-robe féminine d'Yves Saint-Laurent, et sera désormais présent dans toutes ses futures collections que ce soit sous forme de pantalons, ou de jupe,... Toujours noir, ce vêtement d'homme représente l'émancipation féminine.
Des années qui suivent, le couturier continue de défrayer la chronique : en 1967, il créé des robes africaines constituées de perles et de rafia, puis en 1968, met des sahariennes dans sa collection.
Il créé des costumes de théâtre, ballet et cinéma.
C'est l'un des premiers créateurs à faire défiler des mannequins noirs.
Son idéal esthétique de la silhouette féminine est de longues jambes et peu de poitrine.
Yves saint-Laurent met à la portée des femmes, des vêtements fonctionnels jusque là seulement portés par les hommes. Ainsi, il créé des trenchs et des duffle-coats, des cabans et des marinières, des smoking et des tailleurs pantalon.
11 août 2013
10 août 2013
09 août 2013
Défilé Elie Saab Haute Couture Automne-Hiver 2013-2014
Le sol écarlate prend des allures de tapis rouge lorsque les mannequins du show Elie Saab commencent à défiler. Comme d'habitude, c'est un parfait mariage entre l'Orient et l'Occident.
Les coupes sont diverses : on trouve des décolletés plongeant, comme des ras-du-cou, de la taille empire comme des robes évasés. Mais c'est toujours avec cette impression de conte de fée que l'on regarde les modèles défiler. Les robes à la taille contrées, plus précieuses les unes que les autres, se parent de pierres précieuses, rappelées par la couleur des tissus : on passe du rubis, au saphir, du saphir à l’émeraude, de l’émeraude au diamant. La collection se termine sur une princesse, une mariée dont le voile est si long et si richement brodé, que trois autres ravissantes princesses doivent le porter.
Qu'en pensez-vous ?
08 août 2013
07 août 2013
Christian Louboutin
Christian Louboutin est un créateur de chaussures (et de sacs) français,
né le 7 janvier 1964 à Paris. Ses chaussures à la semelle rouge, sont
vendu dans 46 pays du monde entier et sont portés par les plus grandes
stars.
Origines :
Christian Louboutin est né le 7 janvier 1964, à l'hôpital de la Salpêtrière, dans le XIIème arrondissement de Paris. Il a trois frères et sœurs.Son père était ébeniste, sa mère femme au foyer.
En 1975, il visite le Musée des Arts Africains et Océaniens. Il reste marqué par un panneau interdisant le port des talons aiguilles, pouvant rayer le parquet. Il dessinera et redessinera la chaussure du panneau, qui deviendra donc "l'élément fondateur" de sa futur carrière.
Parcours avant la marque :
En 1980, passionné par les Music-Hall, Christian Louboutin fait un stage aux Folies Bergères. Il y dessine des chaussures, inspirées des danseuses à qui il essaie de vendre ses croquis.
Sur les conseils de Hélène de Mortemart, il quitte Paris en 1982 pour Romans-sur-Isère, "capital française de la chaussure", pour effectuer un stage de près d'un an, chez Charles Jourdan, l'inventeur du talon aiguille. Etant "protégé" par l'entreprise Dior, donc "pistonné", il n'est pas accepté dans l'usine Jourdan. Il y a malgré tout, appris les techniques de fabrication des chaussures.
Louboutin travail ensuite en free-lance pour Dior, Chanel, ou encore Hermès.
Il rentre chez Roger Vivier, à ce moment là âgé de 80 ans. Il travail avec lui durant six mois, pendant lesquels il met ses créations de côté, et devient l'assistant personnel de Vivier.
Il abandonne ensuite la chaussure pour devenir paysagiste.
Lancement de sa propre marque :
En 1992, il lance sa propre marque de chaussures qu'il nomme Christian Louboutin, et ouvre sa boutique à Paris, passage Véro Dodat.
Ses chaussures conquièrent les françaises puis le reste du monde. Deux ans après le lancement de sa marque, il ouvre une deuxième boutique à New York, qui sera suivi d'une seconde quelques années plus tard.
Succès et collaboration :
A partir de 1995, Christian Louboutin collabore avec les plus grands : Jean-Paul Gaultier, Diane Von Fürstenberg, Givenchy, Lanvin, Azzaro, Viktor&Rolf, Chloé ou encore Alexandre Vauthier.
L'année suivante, il reçoit un Fanny Award du Fashion Group International.
En 2002, Yves Saint-Laurent le choisit pour dessiner toutes les chaussures de son grand défilé rétrospectif au Centre Pompidou.
En 2006, il ouvre son propre atelier sur-mesure à Paris, qu'il nomme "Minuit moins sept".
L'année d'après, il collabore avec David Lynch pour l'exposition "Fetish" à la Galerie du Passage. On y expose des photographies et des paires de chaussures, pas destinées à être portées.
En 2008, la Fashion Institute of Technology à New York lui consacre une rétropsective. la même année, il est récompensé de son deuxième Fanny Award.
Louboutin s'attaque ensuite à internet : en 2009, il ouvre son site officiel. Il créé également une web-series de sept épisodes, intitulée "Le Carosse Noir", où l'on peut voir Arielle Dombasle, Dita Von Teese, ou encore Mika.
La légendaire chaussure à semelle rouge :
Bien que Christian Louboutin dessine toute sorte de chaussures, on lui attribue plus particulièrement des souliers vertigineux, aux talons aiguilles de 12 à 16 cm.
On raconte que l'idée de la semelle rouge serait venu au créateur lorsqu'il aurait vu les pieds de sa secrétaire, vernis de rouge.
Origines :
Christian Louboutin est né le 7 janvier 1964, à l'hôpital de la Salpêtrière, dans le XIIème arrondissement de Paris. Il a trois frères et sœurs.Son père était ébeniste, sa mère femme au foyer.
En 1975, il visite le Musée des Arts Africains et Océaniens. Il reste marqué par un panneau interdisant le port des talons aiguilles, pouvant rayer le parquet. Il dessinera et redessinera la chaussure du panneau, qui deviendra donc "l'élément fondateur" de sa futur carrière.
Parcours avant la marque :
En 1980, passionné par les Music-Hall, Christian Louboutin fait un stage aux Folies Bergères. Il y dessine des chaussures, inspirées des danseuses à qui il essaie de vendre ses croquis.
Sur les conseils de Hélène de Mortemart, il quitte Paris en 1982 pour Romans-sur-Isère, "capital française de la chaussure", pour effectuer un stage de près d'un an, chez Charles Jourdan, l'inventeur du talon aiguille. Etant "protégé" par l'entreprise Dior, donc "pistonné", il n'est pas accepté dans l'usine Jourdan. Il y a malgré tout, appris les techniques de fabrication des chaussures.
Louboutin travail ensuite en free-lance pour Dior, Chanel, ou encore Hermès.
Il rentre chez Roger Vivier, à ce moment là âgé de 80 ans. Il travail avec lui durant six mois, pendant lesquels il met ses créations de côté, et devient l'assistant personnel de Vivier.
Il abandonne ensuite la chaussure pour devenir paysagiste.
Lancement de sa propre marque :
En 1992, il lance sa propre marque de chaussures qu'il nomme Christian Louboutin, et ouvre sa boutique à Paris, passage Véro Dodat.
Ses chaussures conquièrent les françaises puis le reste du monde. Deux ans après le lancement de sa marque, il ouvre une deuxième boutique à New York, qui sera suivi d'une seconde quelques années plus tard.
Chaussures Louboutin au défile Lim |
A partir de 1995, Christian Louboutin collabore avec les plus grands : Jean-Paul Gaultier, Diane Von Fürstenberg, Givenchy, Lanvin, Azzaro, Viktor&Rolf, Chloé ou encore Alexandre Vauthier.
L'année suivante, il reçoit un Fanny Award du Fashion Group International.
En 2002, Yves Saint-Laurent le choisit pour dessiner toutes les chaussures de son grand défilé rétrospectif au Centre Pompidou.
En 2006, il ouvre son propre atelier sur-mesure à Paris, qu'il nomme "Minuit moins sept".
L'année d'après, il collabore avec David Lynch pour l'exposition "Fetish" à la Galerie du Passage. On y expose des photographies et des paires de chaussures, pas destinées à être portées.
En 2008, la Fashion Institute of Technology à New York lui consacre une rétropsective. la même année, il est récompensé de son deuxième Fanny Award.
Louboutin s'attaque ensuite à internet : en 2009, il ouvre son site officiel. Il créé également une web-series de sept épisodes, intitulée "Le Carosse Noir", où l'on peut voir Arielle Dombasle, Dita Von Teese, ou encore Mika.
La légendaire chaussure à semelle rouge :
Bien que Christian Louboutin dessine toute sorte de chaussures, on lui attribue plus particulièrement des souliers vertigineux, aux talons aiguilles de 12 à 16 cm.
On raconte que l'idée de la semelle rouge serait venu au créateur lorsqu'il aurait vu les pieds de sa secrétaire, vernis de rouge.
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